Le prieuré de Notre-Dame de Longpont

XII. Chartes relatives à Soligny (3)

Chronique du Vieux Marcoussy ------------------------------------- _------------------- --------- Octobre 2010

Extrait du cadastre napoléonien des Molières, section A (1810).

C. Julien

 

 

 

Cette chronique est la troisième partie de l'histoire de Soligny, douzième volet de la série de textes qui exposent les chartes du prieuré Notre-Dame de Longpont (1). Après avoir résolu l'énigme introduite par le texte de l'abbé Lebeuf, et présenté la donation de la terre de Soligny «  Soliniacum  » par Bernard de Chevreuse, nous continuons l'exposé des chartes de ce lieu-dit de la commune des Molières (cant. Limours, arr. Palaiseau, Essonne).

Encore une fois, nous nous apercevrons que la possession de Soligny posa des problèmes, que l'on peut attribuer à la rivalité entre le comte d'Évreux et le roi de France, champion du prieuré. Rappelons qu'étant devenu comte d'Evreux dès 1118, Amaury de Montfort avait succédé, en 1120, aux droits de la maison de Garlande sur le comté de Rochefort, dans la mouvance duquel était la terre de Soligny. Avant de continuer l'étude des chartes, nous donnons deux paragraphes introductifs.

 

 

Bref retour sur l'attribution de Soliniaco

Dans son étude sur le territoire de Normands, Daniel Power narre les différends entre le roi Louis VII et Simon de Montfort, comte d'Évreux, qui étant entrés en guerre, avaient finalement signé, en 1160, un traité de paix pour déterminer les droits dans la grande forêt d'Yveline « Ioline en celte,  Aquilina  en latin » et se partager la justice. Le château de Saint-Léger-en-Yvelines demeurait le siège du bailliage, mais la haute justice dans la forêt appartenait au seigneur de Montfort comme la gruerie «  grierius regis de Aquilina  » (2).

Ainsi Soligny se situait à la limite des territoires revendiqués, et nous voyons le roi donner sa sentence en défaveur du comte au profit du prieuré de Longpont. Simon était accompagné par ses parents les plus influents, son beau-frère Galéran de Meulan et son cousin l'évêque Rotrou d'Evreux. Longpont étant placé dans la mouvance royale du château de Montlhéry, ceci explique l'intervention arbitrale du roi Louis VII qui n'était pas fâché de prendre une revanche sur un vassal rebelle. Voilà, le prieuré clunisien qui entrait en terres du comte d'Évreux, un chaud partisan des Anglais.

Daniel Power évoque la charte CCLVI du cartulaire de Longpont (cf. chronique précédente) en mentionnant Soliniacum beaucoup plus proche du château du comte de Rochefort-en-Yvelines que l'hypothèse de Dietrich Poeck ( Longpont. Ein cluniacensisches Priorat in der Ile-de-france , Münstersche Mittelalter-Schriften, Munich, 1986) l'identifiant comme Marolles-en-Hurepoix, bien que son index le place aux Molières. Par contre, Luchaire ( Actes de Philippe Auguste , 518, 1885) met Soligni dans la commune de Saint-Rémy-les-Chevreuse, limitrophe des Molières.

Ainsi nous avons vu qu'au XIIe siècle, Soligny était un domaine rural où travaillaient plusieurs familles dirigées par un maire « major ou villicus », c'est-à-dire un paysan non affranchi employé comme régisseur. Nous savons qu'à Soligny le maire Guarin et sa femme Naalende vivent avec leurs enfants sur un manse servile sorte de tenure correspondant à une parcelle agricole suffisamment importante pour nourrir une famille. Le maire dont la fonction renfermait exclusivement dans ce qui concerne l'agriculture et l'économie domestique, était un colon ( colonus ), c'est-à-dire un homme à la condition forcée, attaché au fonds qu'il occupait. Le maire occupait donc la position sociale au milieu de l'homme libre ( indenuus ) et le serf ( servus ). Le manse, qui contient quelques bonniers de terre arable, pré et vigne, semble être partagé entre deux ménages, celui du maire Guarin et celui de son beau-frère Étienne. Les redevances s'établissent comme suit : le droit de guerre, le droit de paison (ou droit de glandée), le droit de pâture, payés en monnaie ou en volailles. Des services sont aussi requis : œuvres exécutées à la main « manoperas » et plusieurs jours de corvée « corvatam », labour et entretien des chemins.

 

 

La paroisse des Molières

Le toponyme des Molières viendrait de Moleriae ou Molleriae , viendrait de Molaris ou Molare qui aurait deux signification : soit des monticules en forme de tumulus qui auraient été formés par les laboureurs dépierrant leurs terres, soit par un lieu de carrières où l'on extrayait des pierres dures dont on faisait les meules de moulin.

Nous ne connaissons que quelques documents qui parlent des Molières dont l'église est du titre de Sainte-Marie-Madeleine. L'an 1186, cette église fut confirmée par une bulle du pape Urbain III accordant les privilèges à l'abbaye de Saint-Florent de Saumur avec d'autres en ces termes «  ecclesiam sanctæ Mariæ Magdalenæ de Moleriis cum omni dignitate et immunitate sua  ». Le pouillé du XVIIIe siècle mentionne : «  In decanatu de de Castri Fortis, ecclesie pertinentes ad donationem Sancti Florentii de Saumuro : Sancti Remigii, de Gomed Castro, de Gomed Villa, de Moleriis, de Brueriis, de Saud, de Villa Justa  » (3).

Il semble qu'aux XIe et XIIe siècles, plusieurs seigneurs se partageaient la terre des Molières. Le plus ancien seigneur connu est Milon de Chevreuse «  Milo de Cabrosa  » qui vivait sous le règne du roi Robert. Son fils nommé Guy est mentionné en 1065 comme ayant parmi ses vassaux un Geoffroy de Gometz. À la fin de sa vie, Bernard de Chevreuse « Bernardus de Cabrosa » lequel prenant le froc de moine à Longpont, fit don au prieuré de l'héritage qu'il avait «  apud Soliniacum  ». L'acte est passé devant le roi Louis VI le Gros résidant au château de Dourdan. Puis, sous le priorat de Jean, Gui de Rochefort «  Guido de Rupe Forti », le fils du puissant chevalier Guy le Rouge de Montlhéry-Rochefort, approuva le legs de Bernard.

Dans une charte de 1162, Maurice de Sully, évêque de Paris, «  Mauricius, Dei gratia, Parisiensis episcopus  » confirme le legs de l'héritage fait par un chevalier nommé Payen de Pisis «  Paganus  » à l'abbaye N.-D. des Vaux de Cernay. Il s'agit d'une terre de 156 arpents en partie sur le chemin de Bonnelles au Molières «  chemino tendenti ee Bonella ad Molerias  » et d'autre part aux terres des Molières «  parte terris de Molleriis  » et au chemin tendant de Cernay aux Molières. En 1215, les lettres de Pierre, évêque de Paris, confirment la libéralité pieuse constituée par une terre située au bout du bois sur la route qui conduit aux Molières «  juxta viam quæ ducit ad Molerias » faite par Raginald des Trous et sa mère Eremburge à l'abbaye des Vaux de Cernay.

 

Plan d'assemblage du cadastre napoléonien des Molières (septembre 1810).

 

 

La donation de Marie de Breuillet

Après la donation de la moitié de la terre de Soligny par Bernard de Chevreuse, le prieuré de Notre-Dame de Longpont reçut la confirmation de Marie, dame de Breuillet dont relevait cet arrière-fief (4). Il est surprenant que Jules Marion n'ait pas daté cette charte puisque nous savons que Bernard de Chevreuse fit son legs vers 1112 alors que le comte Gui II de Rochefort était encore en vie. Il faut donc dater cet acte immédiatement à la suite de la première charte. Ce fut une nouvelle cérémonie en l'église de Longpont où de nombreux personnages se pressèrent devant l'autel de la Vierge.

Voici la transcription latine de Marion (charte CCLXXIV) : «  Maria, filia Rainaldi de Brayolo, medietatem terre de Soliniaco , quam Bernardus de Cabrosia sancte Marie de Longo Ponte pro remedio anime sue dederat, patri suo supranominato ad velle suum faciendum cum filiis suis concessit. Pater vero ejus Deo et sancte Marie de Longo Ponte et se monachum et terram dedit, ipsa eadem Maria cum filiis suis, Aymone et Nanterio. Nec illuc silendum est quod apud Dordingcum, in camera regis, hoc factum fuit, audientibus istis: Florencia, uxore Rainaldi; Maria, filia ejus, et filiis ejus, Aymone et Nanterio; Gaudefredo de Braiolo; Pagano de Sancto Yonio; Aymone et Hugone, fratribus ejus; Hugone de Cavanvilla. Postera autem die, concessit hoc idem Rainaldus, filius ejusdem Rainaldi. De hoc sunt testes: Paganus de Sancto Yonio; Aymo et Hugo, fratres ejus; Moreherius de Stampis; Petrus Bernardus; Gaufredus, major; Oylardus, famulus; Garnerius, famulus  ».

Dont une traduction sommaire donne : « Maria, fille de Renaud de Breuillet, avec le consentement de son fils, approuva la donation de la moitié de la terre de Soligny et d'un pré dans le lieu précité qui avait été faite à Sainte Marie de Longpont par Bernard de Chevreuse pour le salut de son âme et celle de son père. De ce fait, son père céda la terre à Dieu et à Sainte Marie de Longpont et aux moines de ce lieu, au cours de la même année que Maria avec ses fils Aymon et Nantier qui donnèrent leur consentement. Ceci ne fut pas fait sans publicité, parce que l'acte fut donné à Dourdan dans la chambre royale, en présence de Florence, la femme de Renaud, Maria, sa fille et ses fils Aymon et Nantier, Godefroy de Breuillet, Payen de Saint-Yon, Aymon et Hugues, ses frères, Hugues de Cavanville. Le jour suivant, Renaud, le fils de Renaud de Breuillet, approuva ce même [don]. Les témoins de cela : Payen de Saint-Yon, Aymon et Hugues, ses frères, Morehery d'Étampes, Pierre Bernard, le régisseur Geoffroy, le serviteur Oylard, le serviteur Garnier ».

 

Ainsi nous l'avons déjà dit dans notre chapitre II, entre les années 1107 et 1148 au plus tard Bernard de Chevreuse qui possédait la moitié de la terre de Soligny , la donna avec tous ses revenus au prieuré de Longpont, du consentement d'Ivise, sa femme, de son fils Bernard, de ses filles Elisabeth et Cécile, et ensuite du consentement de ses deux autres fils Beaudouin, clerc et Robert (charte CCLXXXII). Gui II comte de Rochefort, fils de Gui 1er le Rouge, de qui relevait ce fief, à cause de sa châtellenie de Gometz-le-Châtel, confirma cette donation en affranchissant la terre de tout service féodal, en présence d'une foule de témoins tant clercs que laïcs (charte CCLXXII).

Dans la présente charte, Marie, fille de Renaud de Breuillet, du consentement de ses deux fils, abandonna à son père, pour en faire sa volonté, les droits qu'elle pouvait avoir sur la moitié de la terre de Soligny que Bernard de Chevreuse avait donnée et dont selon toute probabilité, elle était dame en premier lieu. Le scribe mentionne deux phases, d'une part l'approbation donnée par Marie de Breuillet et d'autre part, le lendemain, la venue à Longpont de son frère Renaud qui donna son consentement. Parmi les nombreux témoins, nous voyons Geoffroy de Breuillet, fils de Renaud, à côté des frères Aymon, Hugues et Payen de Saint-Yon. Ce dernier était marié à Adélaïde, petite-fille de Renaud le vieux, sire de Breuillet.

Comme tous les actes de donations, celui-ci est accompli et revêtu de toutes les formalités féodales exigées par la coutume de Paris, qui semblaient devoir à jamais assurer leur pleine et entière exécution. Ainsi, devant l'autel de la Vierge de Longpont, sont également présents à côté des aristocrates des petites gens de basse extraction : le maire Geoffroy et les serfs Oylard et Garnier.

 

Généalogie des seigneurs de Breuillet au XIIe s.

 

 

La dot du moine Renaud de Breuillet

Renaud de Breuillet, prenant le froc de moine à Longpont, constitue sa dot en léguant la moitié de la terre de Soligny.

Voici le texte de la charte CCCXLVIII : «  Universitati fidelium notificamus Rainaldum de Braiolo, apud Longum Pontem monachum effectum, dedisse, pro salute anime sua, eidem ecclesie midietatem ville que Soliniacus vocatur et medietatem nemoris, laudante et concedente filio suo, Godefredo, necnon et Amalrico, tunc comite Eboracensi, de cujus feodo erat, adtestantibus plurimis, quorum nomina alibi annotata habentur. Sed quia eam quidam miles, Aymo nomine, nepos memorati Godefredi, qui aliam medietatem ex parte materis sue possidebat, valde injuriabat, serre amplius non valentes monachi ejusdem ecclesie, conquestus est pro eis apud domnim regem, Ludovicum, domnus Symon, jam fati loci prior. Unde rex equanimiter non serens, sed paci ecclesie consulens, transmisit litteras, proprio sigillo munitas, Symoni, comiti Eboracensi, filio supradicti Amalrici, mandans atque precipiens quatinus, causa pacis, terram illam partiri faceret, ut quiete, ac pacifice vel secure monachis eam possidere liceret. Visis igitur comes litteris, precepit ut secundum preceptum regis, terra partiretur. Die igitur statuto, convenerunt utreque partes ; ex parte comitis : Thomas de Rupe Forti, tunc vero prepositus de Gumez, et ipse Aymo ; Galterius Rozardus ; Robertus Castellus et alii plurimi ; ex parte sancte Marie : memoratus Symon, prior ; Joszo, camerarius ; Germanus. Partita igitur terra et nemus, intersuerunt enim huic partitioni, ex parte beate Marie, isti quorum subscripta sunt nomina : Theodericus, major ; Guido Blundus ; Yvo, frater Johannis, famuli ; Martinus de Atrio et alii multi. Hanc vero particionem benigne concesserunt ipse, Aymo, et uxor sua, et filii eorum ».

 

Voici la traduction succincte : « Nous faisons savoir à tous les fidèles que Renaud de Breuillet, devenant moine à Longpont, avait donné à l'église pour le salut de son âme, la moitié du village appelé Soligny et la moitié du bois, avec l'accord et l'éloge de son fils Godefroy, mais sans l'accord d'Amaury (2), à cette époque comte d'Évreux, qui était son suzerain, devant de nombreux témoins dont le nom est inscrit dans un autre endroit. Mais, un chevalier nommé Aymon, neveu du célèbre Godefroy, qui possédait l'autre moitié de la terre du chef de sa mère, de cette grande injustice, portée avec plus d'ampleur par les gens mal intentionnés tels les moines de cette église, se plaint vivement auprès du seigneur le roi Louis et du seigneur Simon, à ce moment prieur de ce lieu. Le roi n'envoya pas d'émissaire, mais réfléchit à la paix de l'église et transmit une lettre fermée par son propre sceau, à Simon, comte d'Évreux, fils du susdit Amaury, donnant la mission et recommandant à ce qu'il soit permis à l'église de posséder cela en toute quiétude et sécurité. De ce fait, le comte vit la lettre, donna immédiatement des instructions à l'officier royal pour partager la terre. Puis le jour convenu, les deux parties se sont rassemblées ; de la part du comte : Thomas de Rochefort, à cette époque le prévôt de Gometz, et Aymon lui-même, Gautier Rozard, Robert Château et beaucoup d'autres. De la part de Sainte Marie : le célèbre prieur Simon, le chambrier Joszo et Germain. Alors, le partage de la terre et du bois fut effectué de ce fait, de la part de la bienheureuse Marie, les témoins sont nommés ci-dessous : le régisseur Théodore, Gui Blundus, Yvon, le frère du serviteur Jean, Martin de Atrio et beaucoup d'autres. De ce partage, Aymon lui-même, sa femme et leurs fils consentirent avec bienveillance ».

Nous devons reconsidérer la date 1170 donnée par Jules Marion. En effet, Simon reçut le chapeau de prieur conventuel de Longpont en 1180, le roi Louis VII le Jeune mourut le 18 septembre 1180 et Simon III de Montfort, dit le Chauve, second fils d'Amaury 1er qui succéda à son frère, Amaury II, comte d'Evreux en 1140 mourut en 1181. L'acte fut donc donné au cours de la première moitié de l'an 1180.

Renaud de Breuillet était, à la fin du XIe siècle, un homme très respecté. En 1090, il fut avec son gendre Tevin de Forges nommé pour juger la plainte portée par Arnoult Malviel contre les gens du prieuré de Longpont. Nous le retrouvons en 1108, parmi les témoins qui assistèrent Guy Troussel sollicitant la protection du prieuré de Longpont par le roi. La même année il assistait Pierre, fils d'Agnès qui approuvait le don, par sa mère, d'un alleu à Marolles.

Notons que Robert Château est cité comme témoin du comte d'Évreux. Il faisait partie d'une famille seigneuriale d'Orsay qui donna de nombreux personnages : Gautier, Galéran, Milon, Payen, Pierre, Robert, Simon et Gilbert, neveu de Robert. Parmi les biens légués aux moines de Longpont, nous trouvons l'église et la dîme de Pecqueuse. Avec l'accord de Simon de Rochefort, son suzerain, Robert légua trois hostises et le four banal de Pecqueuse et la moitié de ses biens à Corbeville (charte XI). En 1090, Milon Château donnait des terres à Montlhéry, à Orsay et à Fous lors de sa prise d'habit de moine à Longpont.

L'acteur principal de cette charte est Aymon, le petit-fils du moine-chevalier qui conteste la possession des moines. Le prieur Simon sollicite le roi Louis VII qui, comme on le sait, fut le grand protecteur du prieuré de Longpont. Le souverain ne prit pas la peine de convoquer les belligérants, il envoya une lettre au comte de Rochefort de qui relevait la terre de Soligny. Immédiatement Aymon de Forges obtempéra et se soumit à la décision de son suzerain.

Ce sont les seuls faits que nous connaissons sur la terre de Soligny, qui depuis ce temps paraît être rentrée dans la plus profonde obscurité et n'a laissé sur le sol qu'un nom à peine connu, pour ne pas dire tout à fait oublié (5).

À suivre…

 

 

Notes

(1) J. Marion, Le cartulaire du prieuré Notre-Dame de Longpont de l'Ordre de Cluny au diocèse de Paris (Impr. Perrin et Marinet, Lyon, 1879).

(2) Daniel Power, The Norman frontier in the twelfth and early centuries (Cambridge University Press, 2004) p. 98.

(3) M. Guérard, Cartulaire de l'Eglise Notre-Dame de Paris , tome 1 (Impr. de Crapelet, Paris, 1850).

(4) [ Braiolet, Braiolum, Braitellum, Braetellum, Braiolum ] Breuillet, cant. Saint-Chéron, arr. Étampes, Essonne.

(5) A. Moutié, Chevreuse, recherches historiques, archéologiques et généalogiques , in : Mémoires publiés par la Société Archéologique de Rambouillet, t. 3 (Libr. de Raynal, Rambouillet, 1876).

 

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