La Massicoterie
Cette chronique rassemble les notes trouvées sur ce lieu pouvant apporter des informations sur Catherine de Baillon.
J.P Dagnot - Juin 2015
Les Baillon concernés par la massicoterie.
En 1627, Henry Jacquelain marchand retient de damoiselle Catherine de Baillon demeurant au lieu de Vallence une mère vache contre du beurre. Il s'agit de la fille d'Adam et de Renée Maillard, épouse de Jehan de la Roche.
Le mois suivant, Jean de Mauterne, escuier sieur de Mallassis, baille et délaisse à titre de ferme et prix d'argent pour dix ans à Jean Haresse, laboureur et marchand de Neauphle, la ferme et mestairie de la massicoterye... consistant en un grand corps d'hostel, grange, bergerie, estable, terre, assis en la paroisse des Lays, moyennant ung muid de blé mestail, un millier de botte de foing et le prix somme de 140 lt. La ferme n'est pas encore aux Baillon.
En août, relevons le premier mariage d'Alphonse de Baillon : Alphonse de Baillon, fils de feu Adam de Baillon, escuier, sieur de Vallence, et de damoiselle Renée de Maillard, ses pére et mère, assisté de ladite, Adam de Baillon son frère, et Julienne de Lhospital, femme du sieur de Vallance, Jean de la Roche, escuyer sieur de saint-Amand l'un des gentilhommes ordinaires du roy son beau frère et de Catherine de Baillon sa soeur, Claude Dupuy fille de Jean sieur du Tartre st Denis et de feu Bonaventure de Havard ... Le père de l'épouse apporte 2.400 livres; le futur doue la future épouse de 150 lt de rente, rachetable 2,400 livres...
Carte des chasses montrant la Massicoterie.
Le même mois, notons l'acquisition de la Massicoterie par Alphonse de Baillon: Jean de Mauternes escuyer, sieur de Mallassis et Catherine Bernard sa femme, lesquels vendent à titre de rente annuelle et perpétuelle à Alphonse de Baillon, escuyer, sieur demeurant au lieu de Vallance paroisse de Dampierre, c'est à savoir la maison et mettairie se consistant en dépendances, consistant en grand corps d'hotel, chambre, grange, estable, cour, jardin, clos à murs avec un clos devant et derrière aultre maison, terres labourables, prés, bois, le tout contenant 100 arpents ou environ situé paroisse des Lays .... le preneur sera tenu de faire visitation dudit logement par charpentier, masson, et faire les réparations, prendre six gros chesnes qui sont autour des clos, payer un mynot de blé par arpen pour dédommager... les lieux mouvant de la terre et seigneurie des Lays, venant des biens de Catherine Bernard, moyennant 100 lt de rente. Relevons la présence d'Anne de Meurcent femme de François de Mauternes, escuyer, sieur de grand meson, des Lays, l'un des cents chevaux légers de la garde du roy ...
Relevons en 1638, Gilles de Marle, sieur du grand Ragonnant, et Louise de Marle sa soeur, demeurant à Ragonnant, dans une transaction ...
L'année suivante, Alphonse de Baillon escuyer, sieur de la Mascotterie y demeurant, vend à Louis Haultemps, trois pièces de terre pour trois arpents à Dampierre en la censive du seigneur de Chevreuse, moyennant 162 lt, dont partie pour rembourser des étoffes d'un marchand drappier, le reste pour payer les droits de censive de la Massicoterie.
En novembre de la même année a lieu le second mariage d'Alphonse de Baillon: Mre Alexandre de Baillon escuyer, sieur de la Mascoterie, pour lui en son nom d'une part, et delle Louise de Marle fille de deffunt Mathurin de Marle escuyer seigneur de Ragonnant et de feu Anne de Bizet, les époux seront communs en biens, la future apporte ses droits sur Ragonnant, le futur doue la future de 1600 lt, sur ses biens...
Le même mois est réalisé l'inventaire après décès de Claude Dupuy, première épouse d'Alphonse de Baillon, sieur de la Mascoterie: à la requeste du sieur de Villiers tuteur des enfants mineurs du sieur de Baillon et de Claude Dupuys... présent Adam de Baillon sieur de Valence et de Montigny... Il s'agit d'une liste de meubles sans intérêt.
En 1648, un inventaire similaire est réalisé à la requête de Louis de Violle, tuteur des enfants mineurs de deffunt Alphonse de Baillon, sieur de la Mascoterie et de deffunte Claude Dupuy, sa première femme, en la présence de Louise de Marle veuve du deffunt comme tutrice de ses enfants et de Jean de Fleury tuteur... On apprend à cette occasion l'âge des enfants du couple: Antoine cinq ans et demi, Louise quatre ans et demi, et Catherine trois ans et demi. N'ayant pas retrouvé l'acte de naissance de Catherine, cet acte situe son année de sa naissance.
Signalons en 1655, Marguerite de Baillon épouse de Gabriel de Cocherel, sieur des Roches, dans une vente de 100 livres de rente. Cette personne est la tante de Catherine.
Nous arrivons en 1659, nommés par le bailly de Chevreuse nous nous sommes transportés à Champommery, pour estimer une grange faisant partie de la succession d'Alphonse de Baillon sieur de la Massicoterie, par les tuteurs de Elizabeth et Claude Marie de Baillon enfants mineurs dudit Alphonse, et Pierre David commis à la succession vaccante dudit deffunt... Là il s'agit des enfants du premier lit.
Dix ans plus tard, les héritiers d'Alphonse de Baillon, après procès et appel font enfin une transaction: devant Allain commis au baillage de Montfort Lamaury, Antoine de Baillon héritier par bénéfice d'inventaire de feu Alphonse de Baillon son père, d'une part, et Gilles Thiboust pour Claude de Baillon sa femme, héritiers de Claude Dupuy, première femme dudit Alphonse , chacun héritier par moitié de ladite Dupuy...
La même année, un document de Nicole Auger et Raymond Ouimet, décrit l'arrivée de Catherine de Baillon sur Québec: Depuis que le saint Jean-Baptiste a été annoncé, un frisson d'attente passe sur la ville. C'est que l'arrivée de ce navire-là veut dire tout à la fois une chance de bonheur et un hasard de loterie...
Deux mois après, Catherine de Baillon se marie avec Jacques Miville: par devant le notaire royal en nouvelle france résident à Quebecq, furent présent Jacque Miville sieur des Chesnes fils de deffunt honorable homme Pierre Miville et dame Charlotte Maugis ses père et mère d'une part, et damoiselle Catherine de Baillon, fille de deffunct Alphonse de Baillon, escuyer, sieur de la Mascotterie et damoiselle Louise de Marle ses père et mère d'autre part... Notons du côté de l'épouse du seigneur de Courcelles, gouverneur pour le roy en ce pays, de Laurent Poullet capitaine du navire le saint Jean Baptiste qui a amené Catherine... Les époux seront communs en biens, la future espouse de la somme de mil livres tournois de douaire prefix ... Au vu des témoins de Catherine, on peut penser que Catherine n'est pas venu de force...
En 1673, devant Douet et Coutelier, Louise de Marle, fait donation à ses enfants: veuve de feu Alphonse de Baillon, vivant sieur de la Massiotterie en premières noces, et en dernier de Marc Damanzay, sieur de la Fond, demeurant ordinairement audit lieu de la Mascoterie, paroisse des Lays proche Chevreuse, laquelle volontairement donne transporte par donation entre vifs irrévocable à Anthoine de Baillon, sieur de la Mascoterie, escuyer du duc de Verneuil, tout et chacun les biens meubles propres acquest et conquest de la donataire sa mère dont elle se réserve l'usufruit, à la réserve:
- 200 livres pour elle,
- 400 livres à Tassier advocat somme qu'elle luit doit,
- plus à Louise de Baillon 600 livres à ajouter aux 400 de son contrat de mariage,
- plus à damoiselle Catherine de Baillon, autre fille da ladite Louise de Marle, la somme de 600 livres pour tous les droits qu'elle pourrait prétendre en sa succession ...
Trois ans plus tard, Louise de Marle déclare que les deniers qu'elle a payé à Louise de Baillon, femme dudit Poignet lui ont été fourni par le sieur de Baillon son frère.
En 1678, notons l'adjudication par sentence de décret fait au baillage de Chevreuse par laquelle le sieur Poignet reçoit une maison assise en la paroisse des Layes tenant au lieu de la Massicoterie contenant 1,5 arpent avec le jardin ... , ladite maison saisie réellement sur un laboureur... au proffit du feu sieur de Baillon... Les Baillon en France n'ont pas l'air d'être à l'aise financièrement contrairement à leur ancêtres.
En 1681, Antoine de Baillon a payé aux créanciers du révérend père Vaultier de la compagnie de Jésus comme procureur de Jacques Miville sieur des Chesnes et de ladite damoiselle Catherine de Baillon sa femme, la somme de 600 livres portée par ladite donation. Suit une quittance et attaché une procuration : Jacques Miville sieur des Chesnes et damoiselle Catherine de Baillon sa femme qu'il octorize, demeurants au lieu appelé la grande ance a constitué leur procureur le père Jacques Vaultier religieux de la compagnie de Jésus à recevoir d'Anthoine de Baillon, …premier escuyer du duc de Verneuil, la somme de 600 livres donnée à Catherine par défunte Louise de Marle sa mère, veufve d'Alphonse de Baillon et en secondes noces de Marc d'Amanze escuyer sieur de la Foret .
Notons en 1683, le mariage d'Antoine de Baillon, écuyer, sieur de la Mascotterie, escuier du dauphin dans son équipage de la louveterie, demeurant à Versailles en l'hostel de la louvetière, fils d'Alphonse sieur des enclaves et de Louise de Marle, avec Marthe de Druel fille de deffunt Charles et de deffunte Barbe Lepicard, demeurant à Versailles, présent le roi de France, Marie Thérèse la reine et de Louis le dauphin, en raison de sa qualité au service du dauphin. La future apporte 20.000 livres, le future doue la future de 400 livres de rente. Fait au chateau de Versailles pour sa majesté, et à l'hôtel de Montangerie pour les autres.
Signatures royales au mariage d'Antoine de Baillon.
L'année suivante, Pierre Boulduc procureur au Chatelet, d'une part, et Louis Boulduc procureur du roy au Québec, son frère, disent qu'ils ont par moitié une maison rue saint-Jacques venant de leur père Pierre Boulduc ... Ledit Pierre déclarant que la somme de 4.000 livres est la même que celle qu'il a constitué d'une rente à Antoine de Baillon, escuyer demeurant à la mascoterie ... Le même jour, Pierre Boulduc procureur au chatelet, vend à Antoine de Baillon, escuier sieur de la Massicoterie, gouverneur du pont de l'arche, escuyer de Mr le dauphin dans l'équipage de la louveterie, demeurant au cul de sac de st Thomas du Louvre, 200 lt de rente que Boulduc s'oblige à payer ...
En 1685, suite au décès d'antoine de Baillon, à la requête de:
- Marthe Druel veuve d'Antoine de Baillon, , vivant escuyer, sieur de la masicoterie, gentilhomme de monseigneur le dauphin en son équipage de la cavalerie, disant être enceinte de lui ..., demeurante paroisse st Germain l'Auxerrois , en son nom à cause de la communauté de biens;
- Jacques Stoupp, escuyer gentilhomme du duc d'Orléans, demeurant audit lieu de la Massicoterie, paroisse des Layes, près Chevreuse, comme curateur eslu postume ...
lesdits seuls présomptifs héritiers dudit veuf de Baillon son père. Ensuite inventaire à Versailles... Ne retenons que les papiers :
- le premier son contrat de mariage ..,
- le second, un contrat passé en 1684, fait avec Pierre Boulduc, et Hélène Barbier sa femme au proffit du sieur Antoine de Baillon, de 200 livres de rente moyennant 4.000 livres, que ladite somme soit pour employer au payment du prix du tiers en la moitié faisant 600 au total d'une maison rue saint Jacques acquise de Louis Boulduc procureur en parlement en la ville de Kébec...
- un acte de délaissement entre les frères Boulduc.
- trois papiers attachés ensembles, le premier la donation de 1673, Louise de Marle donne à charge de 600 livres à Louise et 600 à Catherine, en marge de ce contrat un acte signé Dom Abanchard de 1681, ledit sieur de Baillon a payé en les mains du révérend père Vaultier de la compagnie de Jésus, comme procureur de Jacques Miville, sieur des Chesnes et de Catherine de Baillon sa femme, la somme de six cents livres . La seconde est une quittance donnée par le révérend père Vaultier de Catherine de Baillon pour raison de ladite somme.
En fin d'inventaire relevons une procuration de Jacques Stoupp, escuyer gentlhomme du duc d'Orléans, frère unique du roy, demeurant à la Mascoterie paroisse des Layes, comme curateur eslu au posthume dont dame Marthe Druel veuve d'Antoine de Baillon (sieur de la mascoterie gentilhomme du dauphin en son équipage) se dit estre enceinte suivant l'advis des parents dudit postume; omologué au Chatelet pour faire inventaire à Paris et à Versailles.
Début 1688 a lieu le partage des biens de la succession d'Antoine de Baillon, frère de Louise: Elizabeth, veuve de Paul Hanot, notaire à Neauphle, Gilles Thiboust, greffier des commissions dudit Neauphle, époux de Claude Marie de Baillon, Jacques Stouppe officier du duc d'Orléans, et Louise de Baillon sa femme, demeurants à la Mascoterie près Chevreuse; les trois héritières pour un tiers de deffunt Anthoine de Baillon, escuier, sieur de la Mascoterie , gentilhomme ordinaire du dauphin, lesquelles parties sur le point d'entrer en procès en raison du partage qui est à faire des biens de leur frère, Louise prétendant avoir la Massicoterie par donation de sa mère Louise de Marle. Bref un problème d'héritage mention d'Alphonse leur père commun.
Quelques jours après, notons le consentement de Claude Marie de Baillon, femme Thiboust, de Neauphle au sujet de la transaction faite par Elizabeth veuve Hanot, Jacques Stoupp et Louise de Baillon.
Début 1692, devant Grofillon, a lieu l'inventaire des biens de la communauté Stoup-Baillon.
Fin janvier, devant Phélippon à Pontchartrain, bail par Antoine et Denis Pocquet émancipés, à Jacques Stoup, le tiers à chacun appartenant de la ferme de la Mascotterie, paroisse des Layes, qui étoit du propre de la défunte Louise de Baillon leur étant eschu du partage de la succession de deffunt Anthoine de Baillon, chargé de 80 livres de rente.
En 1712, par devant un notaire québecquois, Charles Miville l'aisné vend à Catherine Miville sa soeur, veuve Jean Soulard, arquebusier du roy en cette ville, la sixième partie de 560 livres de rente en france pour les arrérages dus par Stoup et de Serné, à recevoir par la demoiselle Marnot, pour le prix de 126 livres payées comptant.
L'année suivante, Charles de Miville vend sa part d'héritage de la partie de la succession d'Antoine de Baillon, devant échoir à sa mère Catherine de Baillon contre 10.00 livres.
En 1714, Joseph Ferré se rend rue des Lombards à Paris pour toucher la part de l'héritage d'Antoine de Baillon chez la veuve Marnot.
Nous arrivons 1717, devant Lambon et Billeheu est réalisé la transaction et acquisition faite à Jeanne Stoup héritière de Louise de Baillon sa mère au moyen du délaissement fait par Jacques Stoup son père: Jacques Stoup, gentilhomme, et Claude Bercher, marchand, demeurant aux Vaux de Cernay, près Chevreuse, à cause de Geneviève Stoup sa femme, cette dernière héritière pour un tiers de deffunte Louise de Baillon sa mère, femme du sieur Stoup, et auparavant veuve de Jacques Pocquin, et encore ladite Geneviève héritière pour moitié de deffunt Denis Pocquet son frère qui était aussi héritier pour un tiers de ladite Louise Baillon, lesquels ont dit que Louise décédée en 1691, ...Stoup se contente de 50 livres de pension viagère et Bercher obtient la Mascoterie.
Notons en 1719 l'arrivée à Québec d'un officier de vaisseaux, Estienne Philippe de Baillon, chez Jean Joseph Ferré militaire. Il sera le parain d'un enfant de Ferré et repartira en France la même année. Sans avoir trouvé une relation entre les Baillon d'Ile de France, on peut penser que les premiers Baillon viennent de Normandie et que certains vivent à cette époque dans la Manche notamment un dénommé Nicolas Baillon capitaine de navire marié en 1700 à Saint-Malo.
Fin 1719, devant Le Chanteur est réalisée la vente de la Massicoterie par Claude Bercher à Jean Baptiste Achard bourgeois de Paris, moyennant 20.000 livres.
Curieusement début 1723, de nouveau la vente par Claude Bercher, marchand demeurant aux Essarts le Roy, et Jeanne Stoup sa femme, à Geneviève Raporblé, demeurant rue de la Huchette, paroisse saint Severin, la maison et ferme de la Massicoterie, sise en la paroisse des Lais, consistant .... ferme... en la censive du seigneur des Lais; suivent les terres dont trois postes ont été démembrés du fief de Valence par partage des femelles.... Les biens appartenaient au sieur Bercher et sa femme à cause d'elle en qualité d'héritière de deffunte Louise de Baillon sa mère .... la vente faite moyennant 16.000 livres. Cette vente apparaît être la bonne.
Notons en 1727:
- l'acquisition de 38 arpens par Guard à demoisellelle Geneviève Raperblé veuve Degar.
- la vente par la demoiselle Raperblé à Girard.
En 1743, Jean Joseph Ferré part pour la France, il y restera jusqu'en 1747 et retournera au Québec ayant réglé les différends des successions avec les Baillon de France.
Revenons en France en 1752, au sujet de la Massicoterie: Pierre Girard écuyer, ancien officier de la reine, veuf en premières noces d'Agnès Vertu dont il était donataire universel en 1702, lequel vend au sieur René Godin, changeur du roy à Chartres et demoiselle Jeanne Macé sa femme, la maison et ferme de la Massicoterie, sise en la paroisse de Lays prez les vaux de Cernay consistante en un corps de logis .....; autre bâtiment nouvellement construit le tout contenant cinq arpents, plus des terres dont des pièces à Valence, la vente faite moyennant 16.000 livres.
Deux ans après le nouveau propriétaire acquiert les 38 arpens démembrés du fief de Valence à Lacorbinière, secrétaire de M de Penthièvre moyennant 16.000 livres. Ils appartiennent à la succession de la Corbinière et font partie de la ferme de la Massicoterie.
Nous arrivons en 1777, il est question des 38 arpens en trois pièces faisant parie du fief de Valence, acquis par un dénommé Soldiny. Les religieuses de Saint Louis devenues suzeraine réclament le droit de quint dus par la succession et un aveu en règle.
Effectivement l'année suivante, Claude François Soldiny, écuyer demeurant à Versailles ainsi que d'autres membres de la famille, s'est transporté devant l'intendant de la maison de saint-Cyr pour présenter foy et hommage des 38 arpens démembrés de la seigneurie de Valence et faisant partie de la ferme de la Massicoterie lui appartenant...
La suite de l'histoire de la Massicoterie étant complètement déconnectée des Baillons n'a pas été traitée.