Chronique du Vieux Marcoussy et des lieux circumvoisins. Ce site à but culturel, gratuit, sans abonnement, sans subvention, ne repreduit pas les sujets connus (copier-coller)

C 'est un forum qui permet peut-être de trouver des réponses à des interrogations que certains lecteurs ou l'auteur se posent.

Chaque demande est numérotée, anonyme ou pas, relative à une question sur l'histoire locale. Elle est envoyée à l'adresse:

jean-pierre.dagnot@orange.fr

Les lecteurs ayant des éléments de réponse envoient leurs informations personnelles via le même procédé e-mail.

Votre serviteur insérera le tout dans cette rubrique. Sont concernées tous les sujets à caractère historique; la généalogie est acceptée tant qu'elle ne devient pas trop envahissante.

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N°14

C'est avec beaucoup d'étonnement que j'ai découvert, au fil de mes recherches, votre site concernant l'histoire de Pierre de Ficte, seigneur de SOUCY.
Je me présente. Monique Soucy-Roberge. Je suis Québécoise, née à Québec et toujours résidente de cette très belle ville qui, encore aujourd'hui, à des liens très étroits avec la France.
Je suis vice-présidente de l'association des familles SOUCY depuis neuf ans, association créée à La Pocatière (Bas du fleuve St-Laurent) où nos premiers ancêtres SOUCY se sont établis au Québec.
Comme nous célébrerons notre dixième anniversaire en août 2010 et que je suis la seule à être restée en poste depuis les tous débuts, on m'a demandé d'écrire notre histoire et celle de nos armoiries.
Bien des gens ont été bernés par un organisme qui "vend" des armoiries au Canada, plus spécifiquement en Ontario. De ces fausses armoiries nous devons aujourd'hui enrayer cette représentation qui continue. Il est même effarant de naviguer sur Internet et de constater combien d'amoiries SOUCY différentes sont offertes sur le marché.
D'emblée, il me vient une question... vous parlez de la censive de Gilles de Souci, chevalier (1254) -
de Hécart de Soucy écuyer (1277) - de Symon dit de Venant, escuier, "fils de feu jadis Regnault de Soucy vivant et demeurant à soucy :
1) Est-ce que ces trois personnes portent le patronyme SOUCY comme nom de famille...
ou bien, est-ce que Gilles, Hécart et Regnault sont des noms de famille?
Mon deuxième questionnement porte sur le lieu de Soucy et les actes notariés qui mentionnent ce site :
1) est-ce qu'il existerait des actes antérieurs à 1254 qui mentionnent le lieu de Soucy?
2) est-ce que vous connaissez l'histoire de la fondation de ce lieu?
3) en l'honneur de qui a été nommé le fief Soucy?
3) est-ce que SOUCY a ses propres armoiries?
Je vous demande cette dernière question parce que, dans le passé, certains organismes et personnes intéressées à l'histoire des familles Soucy se sont servi des armoiries des familles de Pierre de Ficte comme étant celles illustrant les familles SOUCY.
Ma troisième question porte sur le lieu :
1) est-ce qu'il reste encore quelques vestiges ou est-ce qu'on a apposé une plaque sur les lieux en souvenir de ce passé?
Merci de l'attention que vous porterez à toutes mes interrogations...

Additif du 30 janvier 2010

JEAN SOUCY DIT LA VIGNE fut marié à JEANNE SAVONNET, probablement à Paris, avant son départ pour la Nouvelle-France. Puisque aucun contrat de mariage n'a été retrouvé dans les registres de l'église catholique de la Nouvelle-France, non plus que leur contrat de mariage dans aucun minutier de notaires sous le Régime français, il est permis d¹émettre l'hypothèse que Jean et Jeanne se soient mariés à Paris avant de migrer dans la vallée du St-Laurent pour s¹installer dans l'archipel de Montmagny.

JEANNE SAVONNET est originaire de Paris, dans le quartier du Marais/Faubourg du Temple, soit le 3ième arrondissement de la capitale. Lors de son second mariage en août 1679, elle a déclaré avoir 29 ans. Son père s'appelle Jacques Savonnet et sa mère Thoinette Babilotte.

Jean Soucy et Jeanne Savonnet se sont établis à l'Îsle-aux-Grues et à l'Îsle-aux-Oyes (deux petites îles connexes à marée basse). Un des seigneurs de ces Îsles fut Pierre Bécard de Granville et ce personnage était originaire de Paris, plus précisément de la paroisse de St-Eustache. Or, l'église de St-Eustache, construite entre 1532 et 1637, est située dans le quartier des Halles à seulement 1 km de l'Église historique de St-Gervais et Saint-Protais dont la construction fut terminée en 1657 sur le site de la première chapelle du Marais.

C'est dire que Pierre Bécard de Grandville et Jeanne Savonnet qui avaient à peu près le même âge d¹après le recensement de 1681, ont été élevés dans le même voisinage sur la rive droite de la Seine.

Aussi : Dans un volume intitulé « Émigration Rochelaise en Nouvelle-France » je retrouve une généalogie concernant un dénommé Jacques Geoffroy qui fut marié trois fois. En secondes noces, il eut onze enfants dont un fils nommé Jacques qui fut baptisé le 1er septembre 1641, et demoiselle Marguerite Soucy fut la marraine. Cette demoiselle était la fille de JEAN SOUCY, CONSEILLER DU ROI, et de MARGUERITE AUDOUIN. Cette personne savait probablement signer puisqu'elle fut choisie pour l'occasion. Quelle était la famille de cette demoiselle Soucy ? Avait-elle des frères dont un du nom de Jean Soucy qui aurait pu se marier et avoir un fils du même nom ?

J'ai répondu à cette lectrice que l'ensemble des informations concernant les origines de Soucy étaient contenues dans la première chronique . Le lieu actuel existe. Il n'y a plus de château. La propriété appartient à la communauté de communes du canton de Limours. Les chroniques sur ce lieu seront mis en lignes mais pas immédiatement.

Peut-être un lecteur aura-t-il d'autres infos...

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N°13

Je viens de lire votre excellent article sur  Les Thomas de Bruyères. ( http://pagesperso-orange.fr/vieux-marcoussis/Chroniques/bruyeres%20seigneurs.htm )
M'intéressant à cette famille pour des recherches familiales personnelles, je recherche lequel des Bruyères/Puivert est allé en Italie avec Charles d'Anjou qui lui a fait attribuer divers fiefs (Castelbaronia, S. Nicola, Carife et Trevico etc..) sous le nom de Bruveriis/Podioviridi (Bruyères/Puivert en latin/italien).

Je cite ma découverte " I Provenzale de Bruyeres baroni di Puigvert e Chalabre arrivano in Sicilia “ comites” – compagni-di Simone di Monfort omonimo dello zio duca di Leicester con il quale sono imparentati per l'interposizione della discendenza di Guy de Levis, templare (ebreo convertito) signore di Montsegur. "

Gérard PROVENZALE"

J'ai reçu le 30 décémbre 2013 la réponse suivante: The requested name at this question is PIERRE de BRUYERES, a Thomas' III de Leves (Pons) son. Pierre's successor was his brother Adam de Bruyeres, when Pierre followed in Sicily Simon de Monfort and had (1271) the castle "Favara" at Sutera and the barony of Mussomeli.
Giuseppe Provenzale

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N°12

J'ai découvert tout récemment les renseignements que vous avez mis sur votre site concernant le château de Bellejame et Charles-Thomas de Bullion.

Ces informations ont retenu toute mon attention et je devine le travail assez difficile ainsi que les démarches effectuées pour les trouver. Je tiens donc à vous féliciter pour ces quelques pages.

J'ai passé une partie de ma vie afin de recueillir des informations sur Claude-Edme-Henry de Bullion (1772-1831). Je connais assez bien vos deux beaux départements de l'Essonne et Yvelines (Marcoussis, Montlhéry, Bullion, Chatou, Davron) ayant effectué des recherches dans les archives notariales. J'ai également passé de nombreuses semaines à Paris (A.N, SHAT Vincennes et BN). A un certain moment, j'étais bien connu dans ces administrations : j'ennuyé pas mal les directeurs avec toutes mes questions et recherches. Il y a maintenant une trentaine d'année. Mais vous m'avez appris de nouvelles choses que je ne connaissais point.

Puis-je me permettre de vous demander si vous auriez trouvé des informations sur Claude Edmé Henry de Bullion entre 1826 à 1831 et particulièrement sur son second domicile qu'il avait à Strasbourg en 1827 ?

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N°11

Notre association "Mémoire de Lozère" - quartier de Palaiseau - recheche l'origine de ce nom. Inutile de vous dire que les solutions, comme les orthographes, sont multiples.

Les recherches sur le cartulaire de Linas, m'ont conduit, à nouveau, vers vous, tant sur votre remarquable "Chronique du Vieux Marcoussis" que sur votre Forum. Je me permets donc de vous soumettre ma question.

Espérons que cette insertion trouvera une réponse venant d'un lecteur .

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N°10

Google m'a conduit sur votre extraordinaire site car je m'intéresse à la famille HARGENVILLIERS. Je descends de Nicolle HARGENVILLIERS, née vers 1640, probablement à Paris, et décédée en 1700 à Saint-Germain-en-Laye, épouse de Marin TREHEUX, écuyer, valet de chambre ordinaire de la reine puis du roi. Leur acte de mariage est introuvable et la filiation de Nicolle HARGENVILLIERS est encore inconnue. Toutefois, on sait qu'elle est cousine d'Etienne HARGENVILLIERS, procureur au Châtelet, fils de Pierre HARGENVILLIERS, aussi procureur au Châtelet. A la même époque un Pierre HARGENVILLIERS, fils de feu Claude HARGENVILLIERS, est huissier à cheval au Châtelet. On trouve aussi David HARGENVILLIERS, bourgeois de Paris dont la fille Michèle HARGENVILLIERS se marie en 1650. Il y a également Spire HARGENVILLIERS, procureur au Châtelet. Votre site m'apprend que  Spire HARGENVILLIERS est  époux de Marie de CRESPY, fils de Pierre HARGENVILLIERS, notaire à Montlhéry,  et est frère de Jean et David HARGENVILLIERS et apparenté à Claude HARGENVILLIERS. La famille d'HARGENVILLIERS en Ardèche dont est issu le comte d'HARGENVILLIERS descend de Pierre HARGENVILLIERS de Montlhéry, né vers 1619, fils d'Esprit HARGENVILLIERS. Esprit et Spire serait-il la même personne ? Auriez-vous des renseignements qui permettraient de préciser la généalogie de cette famille ? Merci d'avance.

Ce message trouvera peut être une réponse venant d'un lecteur .

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N°9

Je viens de découvrir sur Internet " les chroniques du vieux Marcoussy" et je suis émerveillé par le travail colossal que vous avez effectué.Un grand merci pour le plaisir que vous m'avez procuré. Je suis doublement intéressé par les moulins car je suis un descendant de Pierre Jumelle (meunier) fils de Charles Jumelle. j'ai donc retenu quelques dates importantes de leurs existences. Si vous avez des lieux de naissances, mariages ou décès je suis preneur. J'ai hâte de lire les prochaines revues. Encore merci Salutations  J.Bouchard

Ce message trouvera peut être une réponse venant d'un lecteur .

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N°8

L'équipe de la Chronique du Vieux Marcoussy recherche des actes portant sur notre région concernant les guerres de religion (période 1560- 1595) et sur la Fronde. Les documents seront utilisés et mentionneront l'auteur qui les a apporté. Celà permettra de produire des chroniques plus détaillées sur ces sujets.

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N°7

Jean François DELANGLE m'écrit:
J'ai découvert votre site à la suite de l'article du Parisien; Quel plaisir à parcourir vos chroniques et j'y reviendrais plus longtemps, ma retraite commence. Mais quelle "déception", rien sur Villiers sur Orge, village où j'habite depuis plus de 20 ans, dans une grange, plus modeste que celle de Longpont, il est vrai. Pourquoi cet "abandon" ?

La réponse s'est traduite par la création de la commune de Villiers-sur-Orge avec une relation directe sur deux sites qui traitent de cette commune. Puis le 19 avril 2008, sortie de la chronique des seigneurs de Villiers, vassaux de Guillerville (Linas).

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N°6

Claude Poline, habitant de Briis sous Forges, après lecture des chroniques sur Chantecoq et Invilliers, m'a demandé si je possédais des documents sur le moulin à vent de Briis?

La réponse s'est matérialisée par la sortie du "moulin à vent de Briis " que j'avais oublié dans la chronique n°3 consacrée aux moulins à vent.

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N°5

A la lecture de "Dioudonnat", un lecteur aimerait avoir la description de la ferme de Brouy.

Réponse cidessous par l'auteur

retrouver l'acte de Montclair, notaire à Claye, du 24 thermidor an 9...

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N°4

Néophyte sur le web, l'auteur de ce site aimerait connaitre le processus qui déclenche plus de cent visites moins de quatre heures après l'insertion d'une nouvelle chronique.

Un test simple d'une chronique factice a permis de voir qu'un processus technique n'était pas en cause. C'est donc un tiers qui est la raison de cette augmentation. Certains lecteurs sont intéressés par les anecdotes historiques de la Chronique du vieux Marcoussy ...

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N°3

Je (JP DAGNOT) recherche des informations sur Bineau avant la première guerre mondiale. Nos anciens de cette époque devenant de moins en moins nombreux, la tradition orale se perd. Il y aurait eu deux Bineau à Marcoussis.

Réponse de Sophie Lopez :
Mon grand-père me racontait la légende de Bineau:
Il s'agissait d'un seigneur de Montlhéry tyrannique. La population de Marcoussis s'est rebellée et l'a brûlé.

Les marcoussissiens ne manquaient pas d'imagination!

Réponse de Bernard ROBIN :
S'il est louable de rechercher des témoignages sur Bineau (Binôt), il est à craindre qu'ils soient rares, peu véridiques parce qu'embellis.
D'ailleurs, le livre de Claude et Jacques SEIGNOLLE, " Le Folklore du Hurepoix", paru en 1978, que vous connaissez sans doute, est déjà maigre à ce sujet.
Deux faits, qui ont été signalés par ces auteurs, peuvent toutefois avoir marqué la mémoire de vos témoins et introduire une certaine confusion.
- Le double mannequin de paille d'Itteville, l'un brûlé le mardi gras, l'autre plus petit, conservé un an pour le laisser grandir et le brûler l'année suivante.
- La coutumes des "chargesses", ces tampons de paille placés au bout d'une perche et brûlés dans les champs quelques jours après le mercredi des cendres.

trois réponses à ce jour

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N°2

Je (JP DAGNOT) recherche des lecteurs possédant l'ouvrage de Malte Brun avec une dédicace. Le but est d'ajouter un chapitre consacré à ce personnage.

Une réponse à ce jour.

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N°1

Bernard ROBIN, détenteur de cette carte postale, souhaiterait situer le lieu où elle a été photographiée: Ville du Bois, Gometz la ville? par rapport à Baudreville de la commanderie du Déluge ( Gometz). Le verso de la carte est vierge, mention de Photo-édition 6, rue Sevestre Paris.

Aujourd'hui 12 novembre 2007, j'ai reçu avec plaisir le texte suivant:

Je vous contacte à propos de la question de Mr Bernard Robin (Question No 1 du Forum). En effet, nous avons retrouvé la maison de sa carte postale. L'endroit a quelque peu changé et les nombreux arbres fruitiers et moutons qui l'entouraient ont disparus . Au plus loin que m'amènent mes souvenirs, cette maison ressemblait encore à peu près à la carte postale à la fin des années 70 début 80 et j'ai de nombreuses fois eu l'occasion de passer devant à l'époque. Comme je le disais l'endroit a beaucoup changé, mais la maison a gardé la même configuration. Elle se trouve au 14 Chemin du Trou à terre à la Ville du Bois. Ci-joint une photo qui donne un aperçu de son aspect actuel.

Je profite de cet e-mail pour saluer l'initiative de ce site ; j'ai eu beaucoup de plaisir à voyager au fil des liens dans les (déjà) nombreuses rubriques qui le constitue.
Cordialement.
Lionel Herry.

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