Le fief de la Ronce (1150-1695) |
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Chronique du Vieux Marcoussy ------------------------------------- _---------------------------- -- - Mai 2010 Extrait du plan terrier de Marcoussis accroché à Auteuil.JP. Dagnot
Cette chronique se propose de décrire l'histoire d'un domaine très ancien situé au fond de la vallée à l'ouest de Marcoussis. Comme bien des lieux dans cette vallée, le toponyme donné au Moyen âge est le patronyme des propriétaires, c'est-à-dire "la Ronce". Rappelons le nom des autres toponymes de la vallée à cette époque, de l'est à l'ouest, nous trouvons la Roue, le Fay, Guillerville, Chenanville, la Ronce, Aaron.
Le premier document Un cahier malheureusement aujourd'hui disparu, est cité par Perron de Langres, auteur de l'Anastase de Marcoussis qui l'aurait eu en mains au XVIIe siècle. C'est l'obituaire de l'église de Marcoussis. D'après cet auteur, ce registre des obits avait plus de 500 ans d'âge en 1650. Dans ce « Mémoire des obits fondez en l'église de Marcoussy » , il est fait mention de deux personnages : Marthe de la Ronce dont l'obit est célébré le 9 e jour du mois de janvier et Thomas de la Ronce qualifié de chevalier qui décéda le 19e jour d'avril, cité sans autre marque de chronologie puisqu'il s'agit de l'anniversaire du trépas . La date de 1150, suggérée par l'auteur est possible et est confirmée par la présence de Pierre, curé de Marcoussis , en 1120 (1).
Les de "la Ronce" Toujours dans ce cahier, Jehanne dame de la Ronce décèda l'an de notre seigneur 1287, la Vigile de Noël, laquelle donna au curé 40 sols parisis pour célébrer tous les ans une messe à son intention. Nous n'irons pas jusqu'à dire comme le suggère Perron, qu'elle pouvait être le femme dudit Thomas (2). En 1356, noble homme Perrin de la Ronce, escuier, fils de feu Simon de la Ronce, escuier & de dame Jehanne sa femme vend à honorable homme et saige Mr Galleran Hervy advocat en court laye , bourgeois de Paris et damoiselle Jehanne sa feme, cinq sextiers de bled mousture de rente annuelle à prendre sur un moulin à eaue ... (3) À cette époque la famille "de la Ronce" vend ses biens et le domaine de la Ronce va passer entre les mains de Bernard de Montlhéry.
Le fief de la Ronce à Bernard de Montlhéry Dans l'aveu de Guillaume Despréaux, seigneur de Marcoussis en 1367, nous trouvons la déclaration des arrières-fiefs, ainsi que celle de son vassal, les deux déclarants: Bernard de Montlhéry, qui tient dudit sire des Préaux, en arrière fief du roy, un fief appelé le fief de la Ronce séant à (en blanc) contenant (en blanc) qui peut valoir (en blanc). Douze ans après, Bernard de Montlhéry est devenu également seigneur de Marcoussis, il accroît ses biens sur la Ronce en achetant à Jehanne , veuve de feu Jehan Bonnasche 4 arpents de bois à la Chataigneraye moyennant le prix et somme de 3 francs d'or du coing du Roy. La Chataigneraye est le chantier jouxtant la Ronce à l'ouest. En 1381, un évènement peu fréquent et arrivé jusqu'à nous se passe à la Ronce. Scavoir faisons que come exposé nous estre, de la présence de Pierre de Champeaux pour honorable personne , de l'aage de 26 ans ou environ, que il a pour Bernard de Montlhéry, sire de Marcoussis en son hostel de la Ronce, qui est en la haute justice de ladite seigneurie, ... que en la chaleur de son courroux, bouté le feu en un tas de chaume qui est près dudit hostel de la Ronce où il en avoit 40 charrettes et tantost que le feu se prist, il se repentit de ce fait avoit et alloit escueillir les gens dudit hostel afin d'esteindre ledit feu qui fust esteint et qu'ils nont eu nul dommages audit chaume et après se retirer pour s'en aller et qu'il navoit point demander à la feme dudit Bernard, elle lui en voulu ... il a esté pris emprisonné audit lieu de Marcoussis desquelles prisons il s'est echappé et depuis repris et remis en icelles prisons... élargi comme grace . Il nous a fait prier permission, en considération que il fit chaleur, et est toujours très paisible et de bonne renomée ... Il s'agit de la rémission de Jean Gobin qui a servi le seigneur de Marcoussis en son hôtel de la Ronce. Citons un voisin, Loys de Brétigny, escuier,qui avoue tenir en fief du seigneur de Marcoussis à cause du chastel dudit lieu, neuf arpents de boys ou environ séant au dessus de lostel de la Ronce, tenant aux boys dudit chastel .... Également, Jehanne femme de feu Guiot Dure déclare 12 arpents en deux pièces au dessus de la Ronce à honorable et saige homme Bernard de Montlhéry seigneur de Marcoussis ... Bernard de Montlhéry, trésorier du Dauphiné, décède en 1386, et comme c'est parfois le cas, son épouse ne peut faire face aux engagements financiers pris par son époux. En septembre, pour se protéger, elle rend aveu au roy de ses biens: Damoiselle Jehanne Pizdoé, femme de feu sire Bernard de Montlhéry, dame de Marcoussis, par ces présentes advoue tenir du roy nostre sire en fié à une seule foy et hommage la moitié par indivis qui à elle appartient à cause de son conquest fait avec son feu mari durant leur mariage du chastel, biens possessions qui ensuivent, c'est à savoir : Notons dans cet aveu que la famille des Montlhéry possédait des biens à Boissy-sous-saint-Yon. Cette déclaration pressent la suite, à savoir les dettes du mari, trésorier du Dauphiné. L'apurement des comptes du défunt apparaît dans le texte suivant de la donation au roi de ses biens : ... appartenances qui furent feu Bernard de Montlhéry, jadis trésorier de notre Daulphiné, nous soient demeurées et adjugées pour le prix et somme de 6.010 francs comme au plus offrant et dernier enchérisseur si comme par le décret fait et passé en chose jugée peut plus plainement l'apparoit en rabbais et déduction de ce que ledit feu Bernard nous doit de reste par la fin de ses comptes .... La seigneurie de Marcoussis et le domaine de la Ronce sont adjugés par décret au roi deux mois après l'aveu. Ce dernier l'échange avec Ferri de Cassinel, évêque d'Auxerre, qui présente la foi et hommage à la chambre des Comptes du chastel de Marcoussis et de lostel de la Ronce et leurs appartenances en la manière que feu Bernart de Montlhéry les tenoit à son vivant ... L'évêque laissera les mêmes bien à son neveu Jehan de Montagu...
La Ronce sous Montagu Dès qu'il entre en possession de la seigneurie de Marcoussis, en 1388, Jean de Montagu, surintendant des finances du roi, entreprend d'agrandir de toute part son domaine, achète terres, fiefs, seigneuries, etc. (5). En bon administrateur, il envisage, bien que la période soit troublée par la guerre, d'exécuter des travaux d'aménagement dans la vallée de Marcoussis. Pour répondre aux difficultés économiques, des ouvrages sont réalisés pour rassembler les eaux perdues et celles de la Sallemouille en créant deux étangs à l'extrémité de la vallée. La Ronce se trouve entre les deux futurs étangs. On retrouvera les détails dans la première chronique sur le grand étang. Notons la vente d'un arpent de pré près la Ronce par Perrote la Villehier, demeurant de présent à Paris, à Jehan de Montagu secrétaire du roy, moyennant la some de 10 francs dor. Également , Jehan Leroy de Montlhéry pour trois quartiers de pré séant entre le pré Baudry et la Ronce pour la some de 8 francs dor.
La Ronce au XVe siècle Cette période est pauvre en documents. Signalons en 1482, la foy et hommage de Loys de Graville pour ses biens à Marcoussis qui déclare entre autres la Ronce. Il réitère l'année suivante et aussi en 1499. La première déclaration correspond à la transmission du vassal, de Jean VI à son fils, la seconde correspond au changement de suzerain, de Charles VIII à Louis XII.
La Ronce au XVIe siècle Marie de Balsac est souffrante, elle rédige son testament haulte & puissante dame Marie de Balsac, femme de hault et puissant Loys de Graville, amiral de France ... gisant au lit malade ... Ce testament a-t-il été respecté ? Pourquoi déclare-t-elle un bien qui lui vient de son conquest? Toujours est-il qu'en 1518 lors de la prisée et du partage des biens de la succession de Loys de Graville, elle fait partie des biens du défunt :
la métairie de la Ronce proche la chaussée du petit estang consistant en: En 1540, la succession de la fille de l'amiral, Jehanne de Graville, n'est pas encore terminée, cependant la ferme de la Ronce doit faire partie des biens attribués à Guillaume de Balsac. Loyse de Humières, son épouse reconduit un bail fait à G..?lt de Forges, laboureur demeurant audit lieu de la Ronce. La description des lieux est identique à celle détaillée en 1553. La moison est de six muyds et demy de grain avec 2 pourceaux, 4 chappons, 250 bottes de paille, 6 fromages, 10 livres de beurre et 12 poulets. Nous verrons dans le bail suivant que les prétentions du bailleur sont revues à la baisse avec des conditions plus sévères.
Cinq années passent, la succession difficile de Jehanne de Graville arrive à son terme. Les deux frères héritiers (ses neveux Guillaume et Thomas) sont conduits à faire estimer les biens par des commissaires. Une prisée de la succession est faite. Ne retenons que le chapitre concernant la Ronce: item ont vu visité & prisé les bastimens et pourpris de la ferme appelée la ferme de la Ronce assise près le grand estang qui se consiste en une maison contenant corps d'hostel manable, chapelle dedans, avec au dessoubz ung aultre corps d'hostel joignant pour le fermier, granche, bergerie, estable à vaches près ladite bergerye, le tout couvert de thuilles, toits à pourceaux couvert de bardeaux, grande cour close partie en murs, partie en haies, jardin derrière clos de haies, le tout contenant par l'ancien mesurage, trois arpents, prisé et estimé par les dessus dits jurés 700 livres tournois. Le partage se fait entre Guillaume et Thomas de Balsac, l'aîné obtient la ferme ou métairie de la Ronce, qui est évaluée en revenus et correspond à six muyds et demy de grains. En 1553, un autre bail est fait par Loyse de Hummières: devant Guillaume Bistel, tabellion juré en la prévosté de Marcoussis, Jehan Picard, laboureur demeurant à Macy, confesse avoir retenu à titre de ferme et moison de grains jusques à neuf ans, de haute et puissante damoiselle Loyse de Humières femme de Guillaume de Balsac, chevalier, ..., c'est à savoir la ferme et mestairie de la Ronce, assise entre les deux grans estangs qui se consiste: En 1574, l'aveu de Marcoussis rendu par François de Balsac déclare pour le sujet qui nous intéresse: la mestairye appelée la Ronce assise près lesdits estangs en ladite seigneurie, qui se consiste en maison, granche, estable, cour jardin et 140 arpents de terre labourable ou environ, affermé à un certain Jehan Masurier. Nous entrons dans la période des guerres de religion et également celle des exécutions capitales à Marcoussis. En 1583, quatre peines de mort
ont été prononcées à Marcoussis depuis 30 ans , et il ne fait pas bon ne pas honorer ses contrats! C'est dans ces conditions que devant Guillaume Belleseur, tabellion juré au baillage de Marcoussis, François de Balsac, ... cappitaine de cent hommes d'armes, gouverneur d'Orléans, baille à tiltre de moison et pension de grain, jusques à neuf ans, à Jehan Masurier, demeurant à la Ronce, la ferme et mestairye de la Ronce, ...,
La Ronce au XVIIe siècle La ferme continue d'être louée, ainsi en 1612, par devant Richer, commis du tabellion, François de Balsac la baille à Guillaume Pinoteau. Les évènements font que l'on retrouve son fils Loys Pinoteau avec Pierre Poullier, receveur de la terre et seigneurie de Marcoussis. Nous sommes en 1622, Claude Dumoullin a acheté des biens à Loys Pineauteau. Ce dernier a hérité de son père des dettes également! De ce fait Dumoullin verse la somme de 270 livres au receveur de la seigneurie pour régler la moitié d'une année de la moison en grain de la ferme de la Ronce fait au père dudit Pinoteau du bail de 1612 . François de Balsac décède. Son épouse, Jehanne de Gaignon, gère la seigneurie jusqu'en 1627, date de son renoncement à la communauté de biens d'avec son feu mari. Les méthodes changent, les fermes ainsi que les revenus de la seigneurie de Marcoussis sont baillés à un receveur en l'occurrence Pierre Poullier. Ce dernier en 1635 baille à tiltre de moison loyer et prix d'argent, jusques à trois ans, à Louis & Pierre Lepersonnois la ferme et mestairye de la Ronce appartenant à madame de Bassompierre se consistant en maison, ..., la quantité de 100 arpents de terres, et les prés autour du grand estang. Une réserve est faite, la dite dame se réserve une chambre en ladite ferme proche la chapelle... oultre moyennant le prix et somme de 150 livres de loyer. L'acte précédent montre que, suite au décès de François de Balsac, une redistribution des terres s'est produite et la ferme se trouve hors les biens du seigneur de Marcoussis. Ce fait est confirmé en 1644 par une transaction entre Charlotte de Balsac dame de Bassompierre et Léon de Balsac d'Illiers, seigneur d'Entragues, Charlotte cède: Cette transaction se vérifie dans l'aveu fait par le seigneur de Marcoussis en 1648, où il décrit les quatre fermes en sa possession: la première appelée la Ronce proche la chaussée du grand estang cy-dessus spécifié se consistant en maison à demeurer, chapelle en icelle court, granges estables bergeries thoits et autres edifices avec le jardin et les terres y attenant tenant d'une part aux prés et aulnoyes du petit estang, d'autre part au chemin de Saint Clerc à Montlhéry, d'un bout à la chaussée du grand estang, et d'autre bout aux terres de ladite ferme avec sept vingt arpents en plusieurs pièces et chantiers de la seigneurie de Marcoussis. Nous sommes en pleine période de la Fronde en 1652, signalons un accord familial entre Catherine Houiet veufve de deffunt Charles Gallothe vivant laboureur à la ferme de la Ronce et Blaisse Gallot veufve de deffunt Robert Roussel héritière en partie de son père... À la fin de l'année, la veuve Gallot, confesse avoir ceddé & delaissé à Noel Hubert marchand demeurant à Marcoussis la jouissance et possession de la ferme de la Ronce pour le temps qui reste à expirer du bail fait audit Gallot. Notons également le décès de Catherine d'Elbène, épouse de Léon I de Balsac, suite aux soins qu'elle avait donné aux pauvres durant cette période trouble. L'année suivante un aveu est rendu au duc d'Orléans, comme seigneur de Montlhéry, par le seigneur de Marcoussis; En ce qui concerne la Ronce, peu de détails la ferme de la Ronce avec les bâtiments et terres en dépendants, montant à 140 arpents de terres labourables. En 1657, c'est Romaine Lanoullier, la veuve de l'ancien receveur de la seigneurie Pierre Poullier, fondée de procuration de Léon de Balsac, qui baille et délaisse à titre de ferme et prix d'argent pour neuf années, à Jacques et Marguerin Ferière, laboureurs y demeurant, la ferme & mestairye de la Ronce consistant en: En 1665, Léon II de Balsac a succédé à son père Léon I. Les conditions de l'échange de la ferme de la Ronce fait par le défunt et Charlotte de Balsac posent problème. La ferme et les étangs font partie des biens qui seront gérés selon un bail judiciaire. Jean Thualagan est désigné adjudicataire en la justice de Marcoussis du bail des biens prétendus libérés des acquisitions faites par feu Léon I de Balsac (1). Comme c'est la règle en de telles circonstances, les biens litigieux doivent être entretenus. Nous retrouvons donc en 1670, Jean Thualagan, receveur de la terre et seigneurie du lieu, adjudicataire des biens libres du partage de la succession des biens de Léon de Balsac et de Dame Catherine d'Elbène, procèdant devant le bailly à la " recognaissance pour faire les réparations de massonnerie et de menuiserie tant en la ferme de la Ronce que aux estangs". Ces travaux sont faits par plusieurs corps de métier: Les réparations sont faites, l'année suivante, Léon de Balsac fait marché avec Pierre Legendre, masson couvreur, qui s'oblige d'entretenir toutes les couvertures du château de Marcoussis, que de la basse-cour d'iceluy, que celles des fermes de Pillandry, Villiers à Nozay, la Ronce, et celle des prés à Marcoussis pour le temps & espasse de neuf années les matériaux non fournis ... En 1671, Léon II de Balsac, demeurant en son hostel, à Saint Germain des Prez, estant en son chasteau de Marcoussis, ayant droit par la déclaration de Jean Thualagan adjudicataire du bail judiciaire cède pour trois années, à Léon Poullier marchand demeurant à Paris paroisse Saint Paul, c'est à savoir la continuation du bail adjugé audit Thualagan (6) , donc du revenu de la ferme de la Ronce avec la pesche des deux étangs, moyennant 3.300 livres tournois de ferme & loyer, suivi d'une prolongation de six ans après les trois aux mêmes conditions. L'année suivante, Léon Poullier, devenu receveur de la terre et seigneurie de Marcoussis baille à son frère Pierre à titre de loyer d'argent, la ferme & mestairye de la Ronce, prosche le grand estang. La description des lieux est toujours la même les terres cette fois mentionnées à la quantité de sept vingt arpents . En 1676, Léon Poullier et son frère Pierre s'accordent pour que le bail de ladite ferme, demeure nul et résolu. Le receveur réclame néanmoins 250 livres et s'arrange à l'amiable avec son frère. L'année 1691, de nouveau les créanciers de la succession vacante de Messire d'Illiers d'Entragues, se manifestent. René Jacob, bourgeois de Paris, fermier judiciaire de la ferme de la Ronce, lequel nous a dit et remontrer qu'en exécution de la sentence rendue par nos seigneurs des requestes du pallais du trente mars dernier, il a fait assigner jourd'huy, Georges Benoist charpentier, François Legendre masson, et François Martinet terrassier, experts nommés pour la visitation de la ferme de la Ronce et faire un rapport des réparations,... Pour la ferme, il est nécessaire de : Les ennuis financiers de Léon de Balsac s'accélèrent, ils vont être la conséquence du retour de cette ferme dans la famille des Illiers d'Entragues via Madeleine de Grimonville veuve d'Henry d'Illiers, créancière . À suivre ...
Notes (1) Extrait du cartulaire de Notre-Dame deLongpont. (2) Pour les Catholiques, la Vigile de Noël est le 24 décembre (3) Voir le détail dans la chronique sur le moulin du Guay à venir. (4) Voir le détail dans les chroniques à venir sur les seigneurs de Marcoussis concernés. (5) Voir la deuxième partir de la chronique sur le Grand Étang à venir. (6) Ce document est détaillé dans une chronique sur les revenus de la terre de Marcoussis.
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