La terre et seigneurie de Versailles (2) (1506-1572) |
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Chronique du Vieux Marcoussy ---------------------------------- ---------ajout juin 2011 refonte mars 2011
Versailles en 1668 (extrait d'un tableau de Patel).JP. Dagnot
Cette seconde partie va décrire la fin d'une famille les Soisy qui va perdre cette seigneurie, son acquisition par Martial de Loménie qui subira les outrages de la Saint-Barthélemy. Une attention particulière sera portée au moulin à vent, qui d'après certains, est le lieu où fut construit le premier château royal.
Les Soisy et Colas, seigneurs de Versailles Reprenons une dernière fois l'abbé Lebeuf, paroit vers 1500 Jehan Colas, contrôleur des gardes du roy, qui décèda en 1510. Son épouse Marguerite de Soisy mourut en 1521. Ils reposent l'un et l'autre sous les charniers de Saint-Paul. L'épitaphier du Vieux Paris est plus explicite: Cy-gist noble homme Jean Colas en son vivant seigneur de Versailles en partie, controlleur des guerres du Roy nostre sire, qui trespassa le 5e jour de septembre en l'an 1510. Et aussy noble femme Marguerite de Soisy, vivante femme dudit feu maistre Jean Colas, dame desdits Versailles et Fontenaye, laquelle trépassa le 14e jour de janvier 1521, Priez Dieu pour son âme.
Pour éviter les erreurs publiées concernant cette famille, nous citerons les aveux et pièces annexes comme cela a été fait dans la chronique précédente. En 1506, une transaction commence ainsi : à la requeste de Philippe et Jehan le Maignen, escuiers, Guillaume de Soisy aussi escuyer tant en son nom que comme procureur de Jehan Colas et de Marguerite de Soisy sa femme, à cause d'elle, et Jehan de Gency le jeune aussi escuyer à cause de Marguerite de Soisy sa mère... Lesdits Philippe et Jehan Lemaignen en leur nom, et Jehan de Gency le jeune, représentant sa mère, Jehan de Gency lesné et Jehanne Lemaignen sa femme à cause d'elle, touchant la sucession de feue damoiselle Jehanne de la Tillaye, femme de feu noble homme Guillaume Delahaye, lesdites parties avoient transigé paccifié et accordés ensemble en la manière qui ensuyt, chacun d'eux ayant la sixième partie par égale porcion dicelle succession ... Que dicelle succession deppendoit le fief terre et seigneurie de Versailles relevant des Célestins de Paris à cause de leur fief de Montalain ... que faute de devoir non fait ... ils auroient tenu en leurs mains la terre et seigneurie de Versailles depuis 1501... Lesdits Lemaignen, Soisy, Colas et Gency vassaux indubitables, s'accordent pour que l'un deux portent la foy et hommage... Ils ont élus Guillaume de Soisy ... Les Célestins n'ont plus dorénavant qu'un seul interlocuteur représentant la seigneurie de Versailles. Neuf années plus tard, Jehan, fils aîné de Guillaume de Soisy, aussi écuyer ayant droit de maistre Pierre Julien de Soisy, aussi escuyer et advocat au Châtelet de Paris, et Marguerite de Soisy, veufve de feu Jehan Colas seigneur pour une tierce partie du fief terre & seigneurie de Versailles ou val de Gallie, d'une part, le prieur et couvent des Célestins de Paris d'autre part, lesquelles parties disant que naguères y a eu ouverture de fief, tant par mutation que transport dudit Guillaume de Soisy, qu'ils ont fait saisit ladite terre & seigneurie pour droits et devoirs non faits... et icelle terre voulloient exploiter et prendre les fruits, lesdits Jehan , maistre Pierre Julien et Marguerite de Soisy, s'estoient transportés par devant le prieur pour faire la foy et hommage de la totalité dudit fief et de paier les droits... et finallement lesdites parties confessent avoir fait transaction et accord ... paier 100 livres de droits de relief . Les héritiers se sont séparés et Jehan a pris la place de son père Guillaume pour représenter la fratrie Soisy. Un second acte suit concernant le droit de tabellionnage. Les Célestins accordent aux intéressés le droit de haute, moienne et basse justice, par contre les religieux se réservent le tabellionnage, le baillage et la prévosté.
En1527, un aveu de la Grange Lessard est rendu par un héritier de la famille Poart, notaire et secrétaire du roy, Léonard Poart. Devant les Célestins de Paris, noble homme et saige maistre Léonard Poart, a le jour dhuy présenté son adveu et dénombrement des fiefs de la Granche Lessart assis à la paroisse de Versailles dont la teneur ensuit: lostel seigneurial de la Granche Lessart ou jadis avoit maison granche, cave, estable, colombier, cour, jardin, le tout clos et fermé de petits fossés, item 120 arpents de terres.... En 1530, nous retournons à Versailles où cette fois la branche Soisy-Colas rend aveu. Noble homme Jehan de Soisy seigneur en partie de Versailles confesse estre détempteur et propriétaire avec noble homme Jehan Colas de ladite terre & seigneurie de Versailles: Les Célestins ont rédigé en 1534, un mémoire résumant ce qui relevait du fief de Montalain. Nous ne retenons que ce qui concerne Versailles: la seigneurie de Versailles se consiste en hostel seigneurial, plusieurs terres, prés, pastures, garennes, estangs, cens, rentes, corvées,... haute moyenne et basse justice . Les arrières fiefs dépendant de la seigneurie de Versailles: le fief de Glatigny, vieil chastel ..., le fief de la grange Lessart ... le fief de Satory ... Les seigneurs à cette époque sont Philippe Colas et Jehan de Soisy. En 1544, suite au décès d'Anthoinette Postel, René de Fleury et Marie de Soisy sa femme, n'assument pas leurs engagements envers un certain Germain Ribours, advocat au parlement, créancier, et de ce fait le procureur du plaignant demande à ce que les biens correspondant à l'hypothèque de la créance, soient mise en vente : il s'agit de la sixième partie de la terre et seigneurie de Versailles. Passons sur les terres et ne retenons que le sixième de 10 septiers de bled mousture que doit payer chacun an Jehan Gaulde musnier à cause du moulin à vent qu'il tient audit Versailles de ferme, et de tous les droits que ledit Fleury et sa femme avoit dicelle ont à présent avoir audit moulin et en la pièce de terre où il est assis, du bled qu'ils ont en une pièce de terre contenant cinq quartiers joignant ledit moulin... La mise à prix est fixée à 300 lt. Le procureur enchérit à 400 lt et récupère les biens, le dossier est clos. Philippe Colas avait épousé Marie Besin ( Bazin?) dont il eut trois filles Anne, Marguerite et Geneviesve. Son épouse décède en 1547. Un document peu connu, datant de 1555, met en scène Maistre Nycole Faulcher, procureur de Nycole Wassonge prestre, escollier estudiant en l'université de Paris, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance des dernières volontés de feue Marye Bazin et Jehanne More, veufve de feu Pierre Wassonge exécuteur testament de Pierre Bassonge et encore au nom et comme exécuteur du testament de dernières volontés de Pierre Wassonge poursuivant les héritages cy après déclairés que l'on disoit appartenir à Philippe Colas assavoir: Cette saisie confirme la seconde branche des Colas, seigneurs de Versailles. En 1559, une autre saisie mentionne Jehan Regnard poursuivant les criées des héritages appartenant à Jehan Peteil assavoir 7 arpens au terroir de Versailles tenant des deux parts du seigneur de Versailles. Le patronyme Colas n'est pas cité. La même année, une troisième saisie concerne également des Versaillais : Hiérosme Thumery poursuivant les criées sur Fiacre Lottin pour:
Versailles à Martial de Lomenie Nous arrivons en l'année 1561, Philippe Colas vend la terre et seigneurie de Versailles à Martial de Loménie, secrétaire du Roy... noble homme Philippes Colas escuyer seigneur de Versailles d'une part et noble homme Martial de Loménie conseiller du roy et secrétaire de ses finances d'autre part, lesquelles parties font les eschanges qui ensuivent, c'est assavoir ledit Colas délaisse la totalité du lieu terre et seigneurie de Versailles à luy appartenant tant de propre que de conquest, tant en : L'ancien seigneur doit avoir des dettes, car quatre mois après: Maistre Sébastien Leroy, procureur de noble homme et saige maistre Claude Rougerville, conseiller du roy et son prévost en l'Isle de France poursuit les criées des héritages cy après déclairés que l'on dit appartenir à noble homme Philippe Collas escuyer seigneur dudit lieu, la terre et seigneurie de Versailles appartenant audit Colas, tant de son propre que conquest contenant: L'affirmation par laquelle Philippe Colas se disant détenteur de la seigneurie va être mise en défaut en fin d'année par la branche des Soisy, où Jehan de la Mothe époux de Roberte de Soisy agissant en son nom et également pour Marguerite de Soisy sa belle-soeur veuve de Jehan Dizy. Du fait du décès de leur mère Anthoinette de Postel, les deux soeurs vendent à Martial de Lomenie, tout ce qui peut leur appartenir advenu et eschu par le décès et trépas de leur mère, pour diceux droits pour user et posséder par ledit sieur de Lomenie de sa propre chose. Ceste vente faicte moyennant le prix et somme de 500 lt francs deniers. Au début 1562, pour faire exécution du paiement de 250 lt de la saisie déclenchée en novembre poursuivant Philippes Colas, notons que son origine vient d'une sentence de justice prononcée un an plus tôt, dont l'exécution débute à partir du mois d'août par la publication d' affiches de criées. Le dénouement arrive donc la mi-janvier par l'adjudication finale où les enchères atteignent 18.000 lt portées par Sébastien Leroy. Ce dernier se présente devant les notaires parisiens de l'échange de Versailles conclu entre Colas et Loménie. Il déclare qu'il a agi pour le compte de Martial de Loménie. Fort de ce dernier acte, Martial de Loménie, prend officiellement possession de la seigneurie devant le commissaire qui a administré la terre de Versailles pendant la saisie. Deux mois passent, le nouveau seigneur de Versailles acquiert le fief terre et seigneurie de la Grange Lessart, appartenant à Anthoine Poart, maistre ordinaire en la Chambre des Comptes. Noble homme Anthoine Poart seigneur de Foignon, la Grange Lessard et en partie de Versailles, conseiller du roy et maistre ordinaire en sa chambre des comptes d'une part, et Inocent Auberon, procureur de Martial de Lomenie, devenu greffier du grand conseil du roy , lesquelles parties font les cessions qui ensuyvent, le sieur Poart délaisse le fief terre et seigneurie de la Grange Lessard ... Les biens consistent en bâtiments et 112 arpents de terres et bois. La vente faite moyennant la somme de 7.500 lt constituée par une rente de 625 livres. Martial résigna "pour cause de religion" sa charge de greffier au grand conseil le 6 Juillet 1563 en faveur de son neveu pierre de Villoutreix, qui aurait du par la suite la retransmettre à son fils Cosme Delomenie. Cette information venant d'un lecteur qui apporte sa contribution. Notons en 1564 une estimation du moulin , un bail de ce dernier fait à Anthoine Chaulmont en 1566 par le sieur de Loménie avec une maison, cour, jardin, et cinq quartiers de terre, le tout joignant ensemble. Ce bail n'ira pas jusqu'à son terme, un transport sera fait par le musnier en place à Nicolas Luquet, musnier demeurant à Trianon . Ces informations proviennent d'intitulés. En 1566, Martial de Loménie recentre ses biens sur Versailles et vend la terre et seigneurie de Nogent-les-Vierges dans le Soissonnais. Nous arrivons en août 1569, toutes ces acquisitions doivent dépasser les possibilités financières du seigneur de Versailles et la Grange Lessart. Une nouvelle saisie de Versailles est faicte par le procureur de Philippes Vigier, sieur de Rocheblon, ayant droit de damoiselle Marye Lejeune sa femme, poursuivant les criées de la terre et seigneurie de Versailles, que l'on dit appartenir à noble homme Mr Martial de Loménie, notaire et secrétaire du Roy: Les oppositions formées à cette occasion sont très intéressantes, elles vont nous permettre d'apprendre d'une part, que l'acquisition de Versailles s'est faite par échange, que Philippe Colas l'ancien seigneur est maintenant décédé, qu'il a reçu de Martial de Loménie 1.000 livres de rentes. Ces 1.000 livres ont été constituées par Renée, duchesse douairière de France, que l'hypothèque s'est faite sur cette terre de Versailles. Entre 1561 et 1569, la succession Colas est intervenue entre quatre héritiers dont trois sont des filles Anne, Geneviesve, et Marguerite, correspondant à quatre rentes de 250 livres. Trois d'entre elles vont être présentées. Voyons les oppositions se présentant: Notons également un arrèt du parlement du 6 août 1571 qui priva Martial de Loménie, ainsi que Cosme son fils, à qui il l'avait transmise, sa charge de secretaire du roi, pour la même cause de religion Pour terminer avec ce personnage citons quelques remarques trouvées dans un mémoire qui a servi à l'adjudication de la seigneurie:
La fin probable de Martial de Loménie Que s'est-il passé à cette époque? Martial de Loménie a-t-il été emprisonné du fait de ses convictions religieuses ce qui aurait entraîné la panique des créanciers et déclenché la saisie? Un document des Célestins hors la saisie et antérieur de quelques mois tendrait à confirmer cette hypothèse: les religieux ressortent une sentence du Châtelet de Paris de 1564. Un huissier se transporte à Versailles en lhostel seigneurial et demande à Anne le Mercier femme de Martial de Lomenie seigneur dudit Versailles, à paier aux Célestins la somme de 49 livres. Apparemment il ne voit personne et fait saisir bois roue de charrue, lattes, un millier de thuilles... La vente aux enchères aura lieu au carrefour de Versailles en octobre 1569. Si le personnage avait été libre on ne se serait pas adressé à son épouse. Jehan Gandois est cité comme gardien des biens de justice... Ce personnage vient du Limousin, et malheureusement pour lui, il est de confession huguenote (1). Cette profession de foi est confirmée par Bordier en 1901 qui cite: MM Haag, Read et le comte Jules Delaborde qui avaient parcourus les registres des pasteurs au XVIe siècle, qui ont été brûlés en 1870... pour des recherches généalogiques et parmi les noms de nobles relevés figurait entre autres ... de Beringhen, de Loménie, de Parthenay, ... Nous sommes en période des guerres de religion, certains disent Loménie a été arrêté et mis en prison (2). Pour notre part, voyons les décisions prises par Catherine de Médicis à cette époque, en août 1568, elle tente de faire enlever Condé et Coligny qui se retirent à La Rochelle. Le 28 septembre, elle fait publier le fameux édit abolissant toutes les concessions antérieures et interdisant l'exercice de la religion réformée, sous peine de mort, et enjoignant aux pasteurs de quitter la France dans la quinzaine, aux fonctionnaires huguenots de se démettre de leurs offices. En conséquence le 22 décembre, à la requête du procureur général du roi, "pour n'avoir porté ou envoyé par devers le roy les procurations pour résigner leur offices" furent déclarés vaccans et impétrables" ceux de Forget, de Coutray, .... Martial de Loménie, Lecomte ... secrétaires du roi. Début janvier 1569 commencent les arrestations des huguenots en France, notons au 12 janvier celle de Jehan Lemercier (peut être de la famille d'Anne épouse de Martial de Loménie). Que se passe-t-il pour notre seigneur de Versailles? Nous verrons dans la prochaine chronique que ses acquisitions depuis 1561 se font contre des rentes, notre personnage "achète à crédit". Ses héritiers vont être redevable de l'équivalent de 30.000 livres. Pour résumer, il a perdu ses charges de secrétaire du roy et de greffier du grand conseil du roy (nous verrons que cette hypothèse est contredite dans la prochaine chronique) . Privé de ressources, les créanciers vont se manifester, les Célestins à partir de mai 1569, le premier créancier en août. De ces données, plusieurs hypothèses sont possibles: Voici ce qu'en dit Pierre de l'Estoile, célèbre chroniqueur : En ce tems, la bonne Catherine (de Médicis), en faveur de son mignon de Retz qui vouloit avoir la terre de Versailles, fit estrangler aux prisons Lomenie, secrétaire du Roy, auquel ladite terre appartenoit, et fit mourir encore quelques autres pour recompenser ses serviteurs de confiscations. D'après d'autres sources non vérifiées, "il fut massacré avec quinze autres huguenots". Ce qui est certain, c'est qu'il a péri le jour de ce massacre. Pour notre part, nous suivrons une analyse différente s'appuyant sur des documents concrets. Loménie avait des démêlées avec le prévôt de Châteaufort et demandait la main levée de la saisie de la justice de la Grange Lessart en 1566. L'année suivante, il produisait une copie collationnée par un huissier du Grand Conseil, de lettre d'ajournement au parlement, signifiée au prévôt de Châteaufort avec deffense à ce dernier de troubler les officiers du sieur de Loménie en l'exercice de la justice, a peine d'estre déclaré infracteur desdits arrests . Malgré cela le prévôt fait saisir Versailles et la Grange Lessart. Une requeste est faite début 1568 par Loménie devant le parlement. Notons des lettres imprimées du roy datées du 29 août 1568, imprimées in-12 par Robert Etienne, par lesquelles il ordonne que ceux de la religion prétendue réformée, soient reçus à faire leurs plaintes et droit leur être fait sur icelles prenant iceux en sa protection et sauvegarde . Le 19 septembre 1568, un parchemin qui sont lettres du roy, signées Leragois, par lesquelles en conséquence de l'édit ci-dessus, le roy prend sous sa protection le sieur de Loménie contre les officiers de Chateaufort, à la requeste dudit sieur de Loménie. Les hostilités continuent en juillet 1569 par un nouveau relief d'appel pour faire assigner au parlement les officiers de Châteaufort. Passons sur les phases; nous arrivons en juin 1571 où Loménie adresse à nouveau une requête au parlement. Signalons également le prieur de Versailles qui ressort certains droits de justice attachés à son prieuré. Il fait déclarer en 1571 que la justice doit se faire devant le prévost du prieur! Le dernier document vient de la chambre du Trésor, c'est une sentence, signée de Fresnoy, portant main levée en faveur du sieur de Loménie de la levée de la saisie de la justice de Versailles, avec signification aux officiers de Chateaufort. Nous sommes en juin 1572, deux mois avant la Saint-Barthélemy. Où se trouvait physiquement Loménie à cette époque? Manifestement il est attaqué par les catholiques qui profitent du rejet des partisans de la religion réformée. Il se défend brillamment et obtient gain de cause, ce qui doit agacer... La suite de ce récit continuera de décrire les faits réels de l'acquisition de la terre de Versailles "aux enfants héritiers de leur défunt père". À suivre…
Notes (1) Confession trouvée dans la littérature sans certitude. (2) selon Wikipédia, le 6 avril 1571, Martial de Loménie, poursuivi sous couleur de protestantisme, en réalité, à cause de son attachement au jeune Henri IV et à sa famille, fut privé de ses charges par arrêt et emprisonné ... suivi de l'erreur concernant Albert de Gondy qui sera développée dans la prochaine chronique.
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